From the album Vétégal by Emilie Simon
Mon amour j'ai pensé Avec naïveté Qu'un brin seul de muguet Pouvait te ramener Alors j'ai retrouvé Un ou deux vieux sonnets Pour te rappeler Pour te rappeler A moi mon amour A travers ce beau jour De printemps j'ai laissé Près de tes pieds tomber Un brin seul de muguet Mais il s'est desséché Attendant ce baiser Qui ne viendra jamais Le mois de mai S'est joué de moi Cette année J'ai laissé couler trop d'émois Cette fois le mois de mai S'est moqué de moi Cette année J'ai laissé couler trop d'émois Cette fois Cette fois Il est parti le temps Il n'a pas pris son temps Me voilà qui t'attends Comme un vieux prétendant Me voilà qui regrette Devant ces quelques miettes Une vieille amourette Qui n'a ni queue ni tête Mon amour j'ai pensé Avec naïveté Qu'un brin seul de muguet Pouvait te ramener Alors j'ai retrouvé Un ou deux vieux sonnets Que tu n'as jamais aimé Je voulais je l'avoue Danser joue contre joue Je l'avoue je rêvais De te faire tournoyer Respirer cet air frais Regarder rayonner Le visage d'un amour Qui n'a pas vu le jour Mon amour j'ai pensé Avec naïveté Qu'un brin seul de muguet Pouvait te ramener Alors j'ai retrouvé Un ou deux vieux sonnets Je sais tu n'aimes pas les sonnets Je sais | My love, how naïve I was, To believe that, A single blade of lily-of-the-valley, Could bring you back. And then I’ve found, One or two old sonnets, For calling you back, For calling you back. It’s me, my love. When I passed through this beautiful day Of spring, I left Close to your feet A single blade of lily-of-the-valley. But it has already withered While waiting for the kiss That will never come. The month of May Has made fun of me. In this year, I have let my emotion flow too much. The time in the month of May Has laughed at me. In this year, I have let my emotion flow way too much, At this time, At this time. He has left the time, He hasn’t take his time. Here, I’m waiting for you Like an old suitor. Here, I’m regretting In front of these fragments Of an old love story Which has no beginning nor end. My love, how naïve I was, To believe that, A single blade of lily-of-the-valley, Could bring you back. And then I’ve found, One or two old sonnets, That you have never liked. I admit, I wanted To dance cheek to cheek. I admit, I dreamt Of spinning you around, Of breathing in fresh air, Of watching the glow Of the face of love, That didn’t appeared at all. My love, how naïve I was, To believe that, A single blade of lily-of-the-valley, Could bring you back. And then I’ve found, One or two old sonnets. I know you don’t like the sonnets. I know. |
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